Nous quittons Kelso vers 8h et prenons la direction de Seattle par le chemin des écoliers, à savoir un détour par le Mont Rainier et plus précisément par Sunrise, situé du côté nord-est du parc, d’où nous pourrons admirer la face est du volcan.
Sunrise, c’est le plus haut point du parc accessible en voiture.
La ranger station nous rappelle le style du Old Faithful Inn, à Yellowstone.
Le ciel est bleu bleu bleu.
Et le Mount Rainier, lui, est majestueux.
Nous sommes fans !
Un sentier monte dans la prairie, sur le flanc d’une colline, opposée au Mont Rainier, à gauche de la Ranger Station.
Les chaussures de randonnées ont été putzées et rangées dans les sacs, prêtes pour le voyage du retour. Nous partons donc en Keen et… sans eau !
Damn it! Y’a du relâchement !
Il nous faudra attendre 10 bonnes minutes afin de prendre cette photo sans qu’une nuée de touristes (comme nous d’ailleurs) viennent la tacher.
Une rotation de 45° nous permet d’apercevoir la Ranger Station, le parking et de jolies montagnes sans nom (enfin, pour la plupart).
En format panoramique, il y a la totale.
Tout tranquillement, nous atteignons le sommet de la petite colline. Sur la crête, le vent est glacial.
De l’autre côté, un petit lac nous fait un clin d’œil.
Comble de bonheur, le sentier fait une boucle avant de redescendre.
Nous longeons quelques centaines de mètres la crête et devons traverser quelques névés.
Ah, si nous avions le temps et quelques jours de vacances supplémentaires devant nous…
Ces prés, au loin, nous font tellement envie !
Bon, allez, une petite dernière !
Nous nous arrêtons au visitor center acheter quelques cartes postales.
Une lunette, gratuite, nous permet de voir les traces des alpinistes, se dirigeant vers le sommet. Une belle trace toute droite, dans la pente, et très inspirante.
Nous devons nous résoudre à quitter cet endroit enchanteur.
Seattle n’est qu’à deux heures et des poussières de Houston… Nous reviendrons, c’est certain.
Flore du jour
Notez leur couleur jaune. L’Avalanche Lilly, elle, est blanche.
Cinquefoil. Cinque, cinq en italien. Cinq, pour 5 pétales.
Autoportraits du jour
Un peu à contre-jour, je vous l’accorde… Mais c’est le prix à payer pour avoir un joli décor.
