Il fait grand beau aujourd’hui donc autant profiter de ce lundi de Pâques pour faire un tour dans notre Jura bien aimée.
Nous nous garons à la sortie de Saint-George et partons en direction du Pré à la Dame par la Route des Clavalles.
Un joli chalet sans nom, non loin de La St-George.
Nous marchons en direction du Col du Marchairuz. La route est pourtant loin mais les bruits de voitures et surtout des motos est incessant.
En marchant, en direction de La Capite.
Stefano, à la recherche du parcours optimal.
C’est le printemps !
C’est la première fois que nous remarquons cette cabane, bien cachée sur les hauteurs.
Nous traversons la route du Marchairuz pour arriver sur le sentier du Sapin à Siméon.
Nous aimons beaucoup ce sentier : il est magnifique. En plus c’est rare que nous y marchions dans le sens de la montée. C’est plutôt un itinéraire de descente.
La Grande Muraille du Jura.
Nous passons au large du Chalet Neuf et arrivons au bout du pré où se dresse, fier et imposant, le Malgré Tout.
Ce nom nous fait rire depuis des années. Nous voudrions bien connaître l’histoire et l’origine de ce nom.
Nous pique niquons dans le pré sans nom que j’aime tant. Et comme il n’a pas de nom j’ai décrété que c’était MON pré.
Nous passons au Chalet des Monts de Bière derrière, puis le Grand Cunay. La voie qui mène au Mont Tendre semble toute tracée. Nous verrons ce que Stefano nous réserve.
Et bien non. Nous commençons à redescendre au niveau de la Cabane du Cunay.
Sur la photo du centre, le toit du Petit Cunay est visible.
Et nous arrivons au Pré aux Biches, d’où le titre du billet.
C’est rond comme une citerne, y’a un tuyau qui en sort, mais est-ce vraiment une citerne ?
Le pré suivant sera le Pré de St Livres, et encore, sa partie extrême sud.
C’est le printemps !
En quittant le pré…
… pour s’enfoncer dans la forêt.
Nous sommes à quelques dizaines de mètres d’un point où nous sommes passés ce matin. Mais la boucle sera parfaite.
Qu’avais-je dit ? C’est le printemps ?
À quelques mètres de la voiture. Les ombres se sont allongés, il est plus de 17h.
Autoportraits du jour
Au pré sans nom qui est aussi MON pré.