Il est 12h22 et nous sommes finalement prêts à partir. Nous avons garée la voiture à la Route de Montagnes, à la bifurcation entre ladite route et la piste qui mène aux Orgères.
Et comme vous pouvez le voir, nous ne sommes pas les seuls à avoir eu cette brillante idée (1). Nous passons le chalet des Orgères, continuons sur la piste et contemplons le mur qui entoure une partie du pâturage (2). Le temps n’est pas au beau fixe et les sous-bois ont besoin d’un bon nettoyage. Une allumette ici provoquerait sans doute une catastrophe (3).
Nous montons vers le nord, à travers les Bois d’Oujon.
Tout au nord de la Combe au Roc, un petit réservoir, délicieusement recouvert (en partie du moins) de nénuphars.
Le mur de séparation qui délimite le pâturage de la Petite Enne. Car si vous ne le saviez pas, Monsieur aime les murs de pierre sèche.
Un beau spécimen de race bovine au Marais Rouge.
Mais, qu’est-ce donc ? Le mur qui sépare le Bois de la Grande Enne de la Plaine à Gallay.
Toujours près du Marais Rouge, nous nous sentons observés…
Nous traversons le pâturage du Vermeilley par le nord et ne pouvons nous empêcher (enfin plus Monsieur que Madame) d’admirer le réservoir et surtout le mur qui le protège.
Stefano ne peut s’empêcher de participer à l’entretien du réservoir. Peut-être quelques vaches nous seront-elles reconnaissantes. Qui sait ?
Nous remontons toujours plus au nord, en direction des Platières.
Très confortablement, car nous suivons la route forestière.
Stefano en pleine action, en train d’immortaliser le mur qui borde l’extrémité sud des Platières.
C’est vrai qu’il est joli ce mur…
Nous suivons la Combe aux Tassons vers le sud. C’est plutôt assez rocailleux, parfait pour la matière première nécessaire à la construction des murs, un peu moins pour faire paître les vaches.
Pile poil entre Le Noirmont et l’Arzière, ce petit réservoir et une belle vue étendue sur le Jura.
Des tumulus ou des réserves de pierre ?
Encore un des murs de délimitation de pâturage. Nous le suivons quelques dizaines de mètres en remontant vers le nord avant de repartir vers Le Noirmont.
De l’autre côté du mur, en direction des Coppettes, un autre réservoir et… le lecteur attentif le remarquera sans doute, la Dôle.
Les Coppettes, justement, vues de loin.
La croix du Noirmont.
Chalet des 3 Suisses. Bon, moi je n’en vois qu’une, mais bon ! Il est tout récent : il date de 1992.
Nous partons vers le Creux du Croue. Au bout de cette combe, justement, c’est le trou.
Le voici, le Creux du Croue !
La descente se fait via un pierrier, peuplé de moutonsssss (voir Topaze).
Mais où sont-ils, les moutonsssssssssssssss ? Là !
Stefano tente de faire copain-copain sans trop de succès.
D’où nous venons.
Le Creux du Croue.
Il ne nous reste plus qu’à remonter vers Le Croue, par une belle montée assassine.
Le Croue.
Et c’est là que nous pouvons dire que nous amorçons le retour à la voiture. Mais la route est encore longue… Près de 10 km.
Et pour le retour, il y a également quelques pauses pour photographier des murs.
Le premier (1) et (2) se situe dans les parages de la Combe Gelée, le second (3) est très proche du Marais Rouge.
La Bûcheronne.
A partir de là, nous marchons sur nos traces de ce matin. Une fois n’est pas coutume. Pas longtemps d’ailleurs car nous bifurquons vers le sud, vers Les Bioles.
Le prochain chalet est celui de la Combe au Roc. Magnifique et bucolique. 23,3 km au compteur pour l’instant, quelques 2’189 mètres de dénivelé positif avalés.
C’est à 20h10 que nous arrivons à la voiture, un peu fourbus mais tellement heureux !
Flore du jour
Pas si superbes que ça, un peu fatigués dirons-nous.
Autoportrait du jour
Oh mais quelle tête de biricchino celui-là !