Le jour J approche à grands pas. Et même si quelques nuages parsèment le ciel, nous décidons de profiter de ce samedi pour aller parfaire notre condition physique.
Direction le camping de La Rippe, où nous garons la voiture.
Nous attaquons la montée à 11h14 précises, réglage des montres et appareils photo oblige.
Quelques errements (1) et nous trouvons enfin un profil propice à notre entraînement… Une montée en ligne droite.
Ne vous étonnez pas… les photos vont se faire rares car…. eh bien j’avais autre chose à penser ! Près de 600 mètres de dénivelé en un peu plus de 3 km… Autant dire que ma première préoccupation était de faire en sorte que ma langue ne traîne pas par terre !
Nous longeons la frontière franco-suisse. Les bornes qui la marquent nous guident.
Petite pause histoire de prendre en photo la sueur qui perle sur le front de Stefano (2). Heureusement, la pente se calme un peu et du coup mon cardio aussi (3).
Mais bientôt, ça repart de plus belle. Vous ne voyez rien ? Pourtant…
Regardez comme c’est raide.
Heureusement, quelques passages sur des routes forestières me permettent de récupérer. No huffing and puffing qu’ils disent… J’voudrais bien les y voir !
C’est la neige qui stoppe notre progression (1)… Pas de Dôle aujourd’hui.
Nous louvoyons donc pour rester à la même altitude. Seuls les passages à l’ombre sont un peu problématiques (2).
Stefano en train d’enlever la neige qui s’est traîtreusement invitée dans nos chaussures (3).
Et bientôt, c’est la descente.
Dans les sous-bois de La Rippe.
Flore du jour
Un magnifique crocus !
Et une Ellébore fétide, appelée aussi Pied-de-Griffon.
Son feuillage froissé dégagerait une mauvaise odeur… J’utilise le conditionnel car nous n’avons pas tenté l’expérience !
Nous avons également aperçu des primevères bien sûr, des nivéoles de printemps, des anémones des bois et quelques tussilages pas d’âne.
Autoportraits du jour
Une pause lors de la “fameuse” montée… Ma langue est rentrée !
Voilà…. Juste pour montrer que 10 secondes, quelques fois, ce n’est pas assez long… Le déclenchement est parfois un poil trop en avance sur mon timing…
Quel stress !
Mieux !
(C’était lors de la pause sandwich).
Et pour finir, lors de la descente…