Nous laissons la voiture au-dessus de Marchissy, près du bâtiment du Groupement Forestier de la Serine, sur notre place de parking habituelle… Enfin, c’est la nôtre jusqu’à ce que nous ne retrouvions plus la voiture un soir en rentrant de randonnée pour cause de mise en fourrière !
Nous partons vers la déchetterie, où des bricoleurs se sont amusés.
En sortant du pâturage de la Pouilleuse.
Quelques dizaines de mètre plus loin, Stefano trouve une serpe qu’il accroche sur la barrière. J’espère que Panoramix va la retrouver.
Nous flânons avec délice dans les Bois de la Gaye avant d’arriver Aux Chenevières.
Une seule vachette daigne tourner la tête.
Nous coupons au nord en direction vers un lieu endroit nommé Sur les Fornets puis obliquons à l’ouest puis au nord vers la Perroude de Vaud. Marchant toujours vers le nord, tels des aiguilles de boussole, nous arrivons à la Rionde Dessous, puis la Rionde Dessus.
Au loin, dans le même pâturage, un abri pour récolter l’eau.
En marchant vers le Pré-aux-Veaux, ce panneau nous fait bien rire : Coupe de bois. « Passage interdit y compris piétons ». Qui d’autre que des piétons peut se balader ici ? Des vaches ? Mais elles ne savent pas lire !
La Sèche des Amburnex n’est pas loin.
Nous avons rejoint le mur de pierre sèche qui entoure la Sèche des Amburnex puis la Sèche de Gimel. Il est tout beau tout neuf, fraîchement reconstruit.
Nous arrivons au couvert de la Sèche de Gimel. Notre endroit de prédilection pour pique-niquer.
Au chalet de la Sèche de Gimel, nous sommes attendus de pied ferme.
Elles sont partout et le moins que l’on puisse dire c’est que nous ne les laissons pas indifférentes. Mais il y a un fil, même deux, entre elles et nous.
Un joli mur, qui sépare deux pâturages.
En allant vers le Crêt de la Neuve. Parce que passer par le Crêt de la Neuve est devenu un jeu : nous ne manquons jamais d’envoyer une photo du drapeau à la sœur de Stefano qui croit que nos promenades du week-end nous emmènent toujours au même endroit.
Nous voilà. Stefano, très sérieux dans son rôle de grand frère envoie LA photo.
Même les DEUX photos, car la croix fait partie du lot.
Nous nous dirigeons vers la Perroude de Marchissy.
Lorsque nous arrivons pour traverser le mur, les vaches nous observent mais ne se lèvent pas.
Celle-ci a réussi à passer de l’autre côté, nous ne savons pas trop comment.
Nous décidons de descendre par le Sentier du Coq. Nous échafaudons mille plans pour remplacer le dessin du coq par celui d’un lapin. Ben oui, pourquoi un coq d’abord ?
Les Prés de Joux.
Ce ne serait pas plus joli, un lapin ?
Nous arrivons à la voiture un poil avant 18h. Voiture qui est toujours là, roues et rétroviseurs compris.
Flore du jour
Itinéraire du jour
C’est ici et c’est chez Suisse Mobile.
Autoportraits du jour
Le long du mur qui borde la Sèche des Amburnex.