Malgré la longue balade d’hier, nous avons décidé de poursuivre notre entraînement aujourd’hui. À 10h, nous sommes chaussés et prêts, et la voiture sagement garée au Chemin du Sinat à Montricher.
Moins de 2 heures plus tard, nous sommes au Pré Anselme.
Nous allons jeter un coup d’œil au chalet.
Des biquettes et un chien nous souhaitent la bienvenue.
Nous comprenons les pis bien remplies des biquettes.
Nous continuons vers le sud en direction du Pré de Mollens.
Le sentier est proche du concept.
D’ailleurs un doute traverse l’esprit de Stefano mais non, il s’avère que nous sommes bel et bien sur la bonne route.
Nous arrivons au Pré de Mollens par son extrémité est.
Nous passons le chalet et continuons vers l’ouest, en direction de La Druchaux. C’est joli ces prairies vertes, égaillées de rochers gris.
Au détour du chemin, nous apercevons une vache qui vient de mettre bas. Son petit veau est encore par terre, tout humide, en train de tenter de se relever. Nous faisons un détour afin de ne pas les stresser.
Nous passons le Creux d’Enfer de Druchaux (tout un programme) et remontons au nord sur quelques centaines de mètres pour attraper la crête qui mène au Mont Tendre.
Vous avez compris, hein ? Si vous voyez une bombe, surtout ne la ramassez pas !
La crête qui mène au Mont Tendre est … interminable. Stefano lève la tête et constate : oui, il faut encore monter !
Et lorsque nous pensons être arrivés, eh bien non !
Nous y sommes. Voici la vue depuis le Mont Tendre, côté France.
Nous redescendons et nous dirigeons vers le chalet.
Le sommet est derrière nous.
La terrasse du Chalet du Mont Tendre. Une fois n’est pas coutume, nous nous offrons une boissons bien sucrée. De toute manière, la balance calorique penche en notre faveur.
Nous continuons sur la crête,
et arrivons au Chalet de Pierre.
Du Chalet de Pierre, nous continuons nord-est en direction du Pré de l’Haut-Dessus.
Au loin, Le Mazel.
Au pré, les vaches.
Nous poursuivons encore notre randonnée, résolument vers le nord.
Le chalet du Pré de l’Haut-Dessus.
Et bien sûr, logiquement, quelques minutes plus loin, le Pré de l’Haut-Dessous. Nous n’avons pas vraiment compris la logique entre le Haut, le Dessous et le Dessus, mais les randonneurs que nous sommes ont mis leur cerveau en veille …
Et, pour séparer les deux prés, un joli mur.
Marchant toujours plus au nord (si nous continuons, nous allons arriver au Pôle Nord, c’est certain), nous passons près des Croisettes.
17h03. Nous amorçons le retour. Ah ah ah… Encore une balade qui va se terminer… un peu tard. Nous sommes au km 22. Et pour fêter cela, une photo du Lac de Joux.
Cette fois, nos pas sont résolument dirigés vers le sud.
Nous passons à nouveau le Pré de l’Haut-Dessous, mais pas au même endroit qu’à l’allée, l’idée étant de ne jamais marcher au même endroit deux fois lors d’une balade.
La preuve, la perspective des chalets est différente, n’est-ce pas ?
Les photos se font plus rares au fur et à mesure que nous pressons le pas. Le soleil se rapproche tout doucement de l’horizon.
La Fougère.
Stefano, hilare (1), sans doute parce que je l’ai laissé boire à la fontaine (3). Il est chou, hein ?
Nous arrivons à la voiture à … 19h45, soit après 9 heures et 41 minutes de marche (moins la pause à la buvette du Chalet du Mont Tendre), quelques 30,6 km et seulement 1300 mètres de dénivelé positif. Hum, c’était un week-end fort actif, vivement lundi qu’on se repose au travail…
Faune du jour
Une vachette, au Pré de l’Haut-Dessus. On dirait qu’elle veut d’exprimer.
Celle-là, elle est au Pré de l’Haut-Dessous.
Highlander, à l’alpage des Croisettes.
Des chevaux, non loin des Bois des Croisettes.
Flore du jour
Itinéraire du jour
Autoportraits du jour
Au parking, le matin, alors que nous sommes (encore) tout frais.
Sur la crête, en allant vers le Mont Tendre.