Initialement, pour ce dimanche, nous n’avions rien prévu de spécial, à part peut être une grasse matinée. C’était sans compter mon étourderie du premier jour, à savoir prendre des photos qui – pffiiiiit – s’évaporent une fois le bouton relâché. Hier j’ai émis le souhait de refaire la balade du jeudi, l’Edelweissweg, mais un peu plus courte car ce soir nous devons être à Genève.
“Parfait !” m’a répondu Stefano, nous pourrons ainsi suivre le tracé initialement prévu.
Donc, ce matin, point de grasse matinée. À sept heures, nous somme face à une tasse de café, un bircher müesli savoureux, du yogourt, du pain de seigle (avec du beurre). Bref, de quoi prendre des forces pour attaquer la montée à l’hôtel du Trift…
L’église anglaise.
Nous passons à travers les chalets-hôtels.
Et bientôt, les choses sérieuses commencent. Mais nous (je surtout) savons à quoi nous attendre.
Le restaurant Alterhaupt est visible. En haut, à gauche. Y’a plus qu’à…
Nous y sommes ! A peine 20 minutes… Même pas drôle.
J’étais un peu anxieuse, mais en fait, plus de peur que de mal !
Ensuite, c’est la montée vers l’hôtel du Trift, le long du torrent.
Les mains-courantes, en corde de chanvre (1), semblable à celle que nous avions dans notre cours d’école, aux Bressis à Seynod… Souvenirs, souvenirs…
Un pétroglyphe (2) ?
Je garde le sourire (3)… Facile aujourd’hui, facile !
Et enfin, les neiges éternelles et les glaciers en vue.
Encore mieux que jeudi. Moins de nuages, la luminosité est parfaite…
L’hôtel du Trift…
Arrêt barre et change.
Et nous joignons l’utile à l’agréable et gaspillons quelques pixels.
Nous repartons rapidement. Devant nous, le mur.
Et bientôt l’hôtel du Trift n’est plus qu’un petit point…
Et moi, toujours à l’aise. Allez comprendre pourquoi, il y a deux jours, j’ai vraiment cru que mes jours étaient comptés.
Nous nous promettons de revenir un jour, parcourir ce sentier, visible à flanc de montagne, en direction de Täsch.
Et enfin, le Mont Cervin… Mon enthousiasme est intact, tel qu’au premier jour…
Au point de vue de Höhbalmen, les cairns, le banc et un autoportrait…
C’est le moment de redescendre sur Zermatt.
Et c’est à partir de là que le mot descente prend toute sa signification.
Zermatt… Les maisons sont si petites…
Nous courons-marchons afin de soulager les genoux.
Une des dernières photos du Mont Cervin… Mais nous reviendrons.
Des étables… refaites à neuf mais qui semblent inoccupées. Pour faire joli.
Et celles-ci sont sur pilotis…
Nous sommes presque en bas…
Back to square one… L’Alterhaupt est à nouveau visible, en haut à gauche.
Quoi, vous ne l’avez pas vu… OK, un petit coup de zoom…
Nous poursuivons notre visite de Zermatt (1) avant de rentrer à l’hôtel chercher nos bagages (2) et prendre le petit train qui nous ramène à Täsch (3).
Nous y pique-niquons assis sur une terrasse, en plein soleil, avant de retrouver la voiture. Heureusement le parking n’est pas plein et nous pouvons nous étaler.
Retour à la maison, non sans s’arrêter acheter sur le bord de la route 2,5 kg d’abricots du Valais pour la compote hebdomadaire.
Nous sommes R A V I S et E N C H A N T E S de notre week-end.
Dis, Stefano, nous y retournons quand, à Zermatt?
Itinéraire du jour
Autoportraits
À Zermatt.